28 novembre 2007
Le mal du pays
Il est vrai que lorsqu'on est loin de chez soi, on perd ses repères et on est destabilisé.
Ce sont des moments qu'il faut appréhender avec lucidité et les vivre comme des moments où on apprend sur soi ,sur notre faculté d'adaptation, sur notre tolérance,et sur le partage.
C'est une histoire qui se vit d'abord à deux ensuite en groupe. C'est pour cela si vous sentez un peu de nervosité, de lassitude, d'incompréhension il faut sans tarder demander aux formateurs une mise au point autrement cela risque de pourrir l'ambiance et les relations dans le groupe peuvent se dégrader.
Je vous encourage à perséverer dans le même esprit que j'ai connu avec vous.
Bon courage
Momar SECK
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